
Ce dimanche 2 février, en la fête de la Présentation du Seigneur, le Saint-Père est revenu lors de l’Angélus sur la rencontre de Siméon et l’enfant Jésus au Temple, rappelant à la suite du vieil homme que le Christ est le salut de tous les peuples et notre lumière. « Jésus révèle le critère de jugement de toute l’histoire », celui de l’amour, a rappelé le Pape François qui a invité les fidèles à s’interroger sur leur grande espérance.
Extraits : Jésus est le salut. Siméon déclare qu’en cet enfant, le salut universel est révélé, une vérité stupéfiante qui souligne que l’amour rédempteur de Dieu est pleinement incarné en une seule personne.
Jésus est lumière, il illumine le monde comme le soleil levant, dissipant les «ténèbres de la souffrance, du mal et de la mort» qui, selon le Pape, continuent d’affliger l’humanité. «Nous avons grand besoin, aujourd’hui encore, de cette lumière !», a lancé François.
Jésus est un signe de contradiction, qui révèle les vérités les plus profondes du cœur humain. À travers lui, l’histoire est jugée selon un seul critère: celui de l’amour, «le critère de jugement de toute l’histoire et de son drame, et aussi de la vie de chacun de nous». Pour le Pape, «celui qui aime vit, celui qui hait meurt».
En conclusion, le Pape François a encouragé les fidèles à examiner leurs propres attentes spirituelles en se demandant: «Qu’est-ce que j’attends dans ma vie ? Quelle est ma plus grande espérance? Mon cœur désire-t-il voir le visage du Seigneur? Est-ce que j’attends la manifestation de son dessein de salut pour l’humanité?»